Un dramatique accident de la route a eu lieu, dimanche 16 janvier 2022, Ă UzĂšs, dans le Gard. Une voiture a percutĂ© un platane. Deux jeunes filles sont dans un Ă©tat grave. Par Hugues-Olivier Dumez PubliĂ© le 17 Jan 22 Ă 956 Le drame a eu lieu sur la D982, Ă la sortie dâUzĂšs. ©Sdis GardLâimage tĂ©moigne de la violence du choc. Un dramatique accident de la route a eu lieu, dimanche 16 janvier 2022, dans le Gard. Une voiture a percutĂ© un platane sur la D982, Ă la sortie dâUzĂšs, en direction de blessĂ©esDeux jeunes filles sont dans un Ă©tat grave. Lâune a Ă©tĂ© transportĂ©e au Centre hospitalier de NĂźmes, lâautre a Ă©tĂ© hĂ©liportĂ©e par le Samu vers un hĂŽpital marseillais », prĂ©cise le Service dĂ©partemental dâincendie et de secours Sdis.Lâune des victimes Ă©tait en arrĂȘt cardiorespiratoire, elle a dĂ» ĂȘtre dĂ©sincarcĂ©rĂ©e. La circulation a Ă©tĂ© interrompue le temps de lâintervention, avec lâaide de la gendarmerie et du service des article vous a Ă©tĂ© utile ? Sachez que vous pouvez suivre Actu Occitanie dans lâespace Mon Actu . En un clic, aprĂšs inscription, vous y retrouverez toute lâactualitĂ© de vos villes et marques favorites.
Captured'écran Twitter/Sapeurs pompiers du Gard. Un violent incendie s'est déclaré ce dimanche dans le Gard, sur la commune d'Aubais, au
Vus de nos Ă©crans, ils semblaient lointains ces meurtriers feux australiens, ces koalas au pelage fumant, ces huit millions dâhectares ravagĂ©s, tout comme les incendies qui ont dĂ©vorĂ© lâAmazonie en 2019, la plus grande forĂȘt tropicale au monde, ou tuĂ© 85 personnes en 2018 dans lâĂtat de Californie, le plus peuplĂ© des Ătats-Unis. Mais le terrible embrasement qui ravage le Gard depuis le 7 juillet 2022 montre que la France n'est plus Ă©pargnĂ©e, comme le redoutaient dĂ©jĂ des experts, dans une note prĂ©monitoire de 2019, dont Sciences et Avenir s'Ă©tait fait l'Ă©cho dans notre mensuel n°876 datĂ© janvier 2020. L'article est Ă redĂ©couvrir ci-dessous. Les mĂ©gafeux ne sont plus lâexception Depuis une quinzaine dâannĂ©es, les feux extrĂȘmes, ou mĂ©gafeux, ne sont plus lâexception, et se rĂ©pĂštent tragiquement sur la planĂšte, au grĂ© des saisons les plus sĂšches. On se souvient que les brasiers gigantesques de GrĂšce en 2018 et du Portugal en 2017 ont fait respectivement 94 et 105 morts, Ă nos portes, en Europe. Mais peu ont pris la mesure de lâincendie destructeur de Rognac Bouches-du- RhĂŽne en aoĂ»t 2016. "Ce fut une catastrophe humaine Ă©vitĂ©e de justesse ", selon le capitaine Patrick Tissot, du Service dĂ©partemental dâincendie et de secours SDIS des Bouches-du-RhĂŽne, car les flammes auraient pu embraser jusquâaux quartiers nord de Marseille aprĂšs avoir dĂ©jĂ dĂ©vorĂ© hectares de garrigue, fait plus de 30 blessĂ©s et 400 sinistrĂ©s. Il faut dĂ©sormais admettre que la France, troisiĂšme pays le plus boisĂ© de lâUnion europĂ©enne, est Ă son tour exposĂ©e Ă ces mĂ©gafeux, particuliĂšrement en MĂ©diterranĂ©e ou dans la forĂȘt landaise considĂ©rĂ©es comme les zones les plus Ă risque. "N'attendons pas un drame pour rĂ©viser notre stratĂ©gie de dĂ©fense des forĂȘts" Un petit groupe dâune vingtaine dâexperts de lâONF Office national des forĂȘts, de lâInrae ou des services de secours, avait donc dĂ©cidĂ© de "lancer lâalerte" aprĂšs avoir Ă©valuĂ© la menace, au cours dâun colloque au printemps 2019 organisĂ© par lâassociation ForĂȘt mĂ©diterranĂ©enne. Dans une note de synthĂšse, adressĂ©e ensuite au Parlement, aux administrations, aux collectivitĂ©s et aux acteurs de la lutte contre les incendies, ils font part de leur "effarement " et de la nĂ©cessitĂ© dâ"agir sans dĂ©lais". "Le feu de Rognac sonne comme un avertissement sans frais, assure lâancien ingĂ©nieur gĂ©nĂ©ral des ponts, des eaux et des forĂȘts Charles Dereix, prĂ©sident de lâassociation. Câest un miracle quâil nây ait pas eu plus de victimes face Ă une nouvelle forme dâincendie dâune puissance inĂ©dite, nourrie par un cocktail fait de changement climatique, dâaugmentation de la biomasse combustible et de dissĂ©mination de lâurbanisation." MĂȘme Ă©tat dâesprit chez Ăric Rigolot, directeur de lâunitĂ© de recherche Ăcologie des forĂȘts mĂ©diterranĂ©ennes Ă lâInrae dâAvignon, qui travaille sur lâintĂ©rĂȘt du dĂ©broussaillement pour la sĂ©curitĂ© des constructions et des personnels de secours "Nâattendons pas un drame pour rĂ©viser notre stratĂ©gie de dĂ©fense des forĂȘts. " En effet, contrairement aux feux classiques " qui, bien anticipĂ©s et circonscrits, peuvent ĂȘtre bĂ©nĂ©fiques pour la rĂ©gĂ©nĂ©ration de la vĂ©gĂ©tation, ces phĂ©nomĂšnes extrĂȘmes affolent par leur caractĂšre inextinguible et profondĂ©ment, durablement ravageur ", souligne la philosophe JoĂ«lle Zask, de lâuniversitĂ© dâAix-Marseille, auteure de Quand la forĂȘt brĂ»le Premier ParallĂšle, 2019. Lire aussiVIDEO. MĂ©gafeux quand la forĂȘt se transforme en torche Car le changement climatique, qui verra la tempĂ©rature annuelle moyenne en France augmenter dâau moins 2°C dâici Ă 2050, favorisera les conditions dâĂ©closion et de propagation des incendies, en raison de sĂ©cheresses accrues sur des surfaces plus Ă©tendues. Aujourdâhui, plus des trois quarts des surfaces dĂ©truites par les feux de forĂȘt sont localisĂ©es dans le Grand Sud, riche en broussailles ou en garrigues. Mais "les scĂ©narios dâĂ©volution climatiques des experts internationaux du Giec [Groupe dâexperts intergouvernemental sur lâĂ©volution du climat] montrent une tendance Ă lâextension du risque dâabord vers le Sud-Ouest, lâOuest Bretagne, Val de Loire, Ăle-de-France et la haute vallĂ©e du RhĂŽne avant de concerner quasi tout le territoire national, vers la fin du siĂšcle ", rapporte Yvon DuchĂ©, responsable national incendie Ă lâONF. Ăvolution du risque dâincendies en France entre 2008 carte du haut et 2050 carte du bas selon un scĂ©nario intermĂ©diaire Ă©tabli Ă partir des donnĂ©es du Giec en rouge, risque maximal. CrĂ©dits Drias, MĂ©tĂ©o-France, CNRN-Game, IPSL, Gerfacs Des canadairs dans la Sarthe Les pics de sĂ©cheresse et de chaleur affaibliront les peuplements forestiers, dont la "biomasse combustible" ne cesse par ailleurs de croĂźtre, la forĂȘt sâĂ©tendant de 1 Ă 2 % par an depuis trois dĂ©cennies. Fait inquiĂ©tant le bois mort sâaccumule dĂšs Ă prĂ©sent car le rĂ©chauffement profite dĂ©jĂ aux ravageurs tel le scolyte, un colĂ©optĂšre qui fait crever sur pied des massifs entiers dâĂ©picĂ©as dans lâest de la France. Nettoyer les forĂȘts, en proie Ă une grave crise sanitaire, est devenu une urgence aussi coĂ»teuse que dangereuse en raison des chutes de branche, dans les forĂȘts privĂ©es comme publiques. "Les dĂ©parts de feux pourraient se multiplier Ă des latitudes oĂč les populations et les services de secours ne sont pas prĂ©parĂ©s Ă ces phĂ©nomĂšnes", estime HervĂ© Le Bouler, ancien de lâONF, aujourdâhui administrateur Ă France nature environnement FNE, fĂ©dĂ©ration nationale dâassociations de protection de la nature. Ainsi, le plus grand incendie de lâannĂ©e 2018 a eu lieu⊠dans le Jura. Et en 2015, les habitants de la banlieue sud du Mans Sarthe ont vu leur premier Canadair lors dâun feu de pins maritimes. "Ces incendies seront sans doute la norme dans les annĂ©es Ă venir et la stratĂ©gie nationale dâattaque massive des feux naissants ne sera pas suffisante, redoute Patrice Tissot. Il faut changer dâĂ©chelle dans notre rĂ©flexion sur la prĂ©vention." La France protĂ©gĂ©e par la fragmentation des forĂȘts? Florence Vaysse, responsable de la cellule Feux de forĂȘts de la zone Sud Ă MĂ©tĂ©o France, est plus nuancĂ©e. Dans lâHexagone, un seul incendie de vĂ©gĂ©tation a dĂ©passĂ© le seuil des 10 000 hectares ravagĂ©s, celui de Vidauban Var, en 1990. " Certes, les feux trĂšs rapides, virulents, et donc trĂšs dangereux, dĂ©jĂ connus dans le Sud, vont se multiplier, explique-t-elle, cartes Ă lâappui. mais en France la vĂ©gĂ©tation combustible nâest pas aussi Ă©tendue et continue quâen Australie, au Canada, en Californie, en Russie ou dans le nord du Portugal. Elle est gĂ©nĂ©ralement fragmentĂ©e par la forte densitĂ© de routes, de zones cultivĂ©es ou habitĂ©es et de cours dâeau qui sillonnent la France. " Le mĂȘme argumentaire est dĂ©veloppĂ© par Thomas Curt, spĂ©cialiste du risque incendie Ă lâInrae, dans un article de The Conversation. Pas de quoi apaiser Ăric Rigolot et Charles Dereix " MĂȘme si les forĂȘts provençales de chĂȘnes verts et de pins dâAlep sont moins hautes que les forĂȘts portugaises dâeucalyptus ou de pins maritimes, elles dĂ©gagent en brĂ»lant dans des conditions mĂ©tĂ©orologiques extrĂȘmes, des puissances de feu de plusieurs milliers de kilowatts par mĂštre, bien au-delĂ du seuil dit de dĂ©fendabilitĂ© par les forces de lutte !", rĂ©torquent-ils. Un sapeur-pompier est Ă©quipĂ© pour rĂ©sister Ă une puissance de 20 kilowatts par mĂštre et un camion-citerne se dĂ©place de quelques centaines de mĂštre par heure. Or, lâincendie de Rognac, "survenu dans un dĂ©partement parmi les mieux dotĂ©s au monde en moyens matĂ©riels et humains", Ă©tait hors normes, non par sa taille 14,9 km sur moins de 2 km, mais par sa vitesse de propagation - de Ă m/h, avec des sautes de feu allant jusquâĂ 1 km - et sa puissance "Ă©quivalente Ă une tranche de centrale nuclĂ©aire", selon Patrick Tissot. " Les attaques directes Ă©taient inefficaces voire dangereuses pour nos personnels et les techniques de lutte aĂ©rienne peu performantes ", souligne-t-il. De surcroĂźt, les secours ont dĂ», comme souvent, concentrer la lutte sur les biens et les personnes, quitte Ă laisser le reste de la forĂȘt brĂ»ler. Pour les spĂ©cialistes, des solutions existent mieux exploiter la forĂȘt, dessiner des "pyropaysages" destinĂ©s Ă couper les feux, rĂ©tablir des "zones tampons" agricoles, faire appliquer les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillage, inciter les propriĂ©taires Ă lâautoprotection de leur maison grĂące Ă des matĂ©riaux peu combustibles et Ă un systĂšme dâarrosage et limiter - voire abandonner - les habitations sises Ă lâinterface de la forĂȘt. Selon un recensement de lâONF en 2008 dans le seul midi de la France, constructions et 1,5 million de rĂ©sidents Ă©taient situĂ©s dans une zone de forĂȘt Ă fort risque. " Les nouveaux habitants de ces interfaces nâont pas la culture du feu, ni celle de lâentretien de leur domaine. Câest lĂ que rĂ©side le danger ", estime Christophe Bouillon, de lâInrae dâAix-en-Provence. LâEurope a lancĂ© un appel Ă projets de recherche La lecture de la base PromĂ©thĂ©e, qui recense les principaux incendies en France, et celle des bases Ă©trangĂšres, est sans appel 85 Ă 98 % des sinistres sont provoquĂ©s par des ĂȘtres humains, volontairement, par accident ou nĂ©gligence. Dont celui de Rognac, dĂ» Ă un mĂ©got de cigarette. Consciente des enjeux, lâEurope a lancĂ© un appel Ă projets de recherche sur les mĂ©gafeux, dont les rĂ©sultats devraient ĂȘtre publiĂ©s cette annĂ©e. Les lanceurs dâalerte français en sont convaincus " Ces feux convectifs extrĂȘmes que lâavenir nous promet nĂ©cessitent des mesures de rupture qui nâont pas encore Ă©tĂ© identifiĂ©es". Les caractĂ©ristiques dâun mĂ©gafeu Le terme mĂ©gafeu, du mot anglais megafire créé aux Ătats-Unis dans les annĂ©es 2000, dĂ©signe un feu extrĂȘme, par son Ă©tendue, son intensitĂ© et sa gravitĂ©, mais ne fait pas lâobjet dâun consensus scientifique. Les critĂšres varient selon les pays, lâĂ©tendue, par exemple, doit ĂȘtre exceptionnelle pour la rĂ©gion concernĂ©e. - Conditions le mĂ©gafeu se dĂ©clenche et prospĂšre quand les tempĂ©ratures sont Ă©levĂ©es, lâhygromĂ©trie faible, les vĂ©gĂ©taux trĂšs secs et le combustible dense broussailles, bois mort, arbres. - Comportements observĂ©s les feux dits convectifs extrĂȘmes dĂ©gagent des panaches de gaz et de fumĂ©e brĂ»lants sâĂ©tendant sur plusieurs kilomĂštres, susceptibles dâembraser dâautres zones. Ils modifient lâatmosphĂšre jusquâĂ 20 000 m dâaltitude. Ils gĂ©nĂšrent des sautes de feu, avec des pluies de brandons, supĂ©rieures Ă 1 km. Ils se caractĂ©risent aussi par une trĂšs grande vitesse les flammes atteignent au moins 10 km/h et jusquâĂ 60 km/h, elles peuvent dĂ©vorer jusquâĂ 50 kmÂČ en 60 min. Le pire survient lorsque plusieurs foyers se rejoignent. La puissance de lâincendie est supĂ©rieure Ă plusieurs milliers de kilowatts par mĂštre. Ces feux extrĂȘmes produisent enfin leurs propres vents et peuvent parfois dĂ©clencher des orages. - ConsĂ©quences les pompiers sont dĂ©passĂ©s par ces incendies hors normes, qui ne sâĂ©teignent souvent quâaprĂšs un changement mĂ©tĂ©o. On dĂ©plore des atteintes massives aux personnes, aux biens et Ă la faune.
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Globalement, les cours dâeau sont en dĂ©crue. Mais dans les environs de Bagnols-sur-CĂšze, le niveau de la CĂšze reste encore Ă©levĂ© ce dimanche matin. Selon Vigicrues, il devrait commencer Ă lĂ©gĂšrement diminuer en dĂ©but dâaprĂšs-midi. En raison de ces intempĂ©ries, plusieurs routes sont coupĂ©es ce dimanche matin sur le secteur⊠Lire la suite » Ce dimanche, le Gard est touchĂ© par un important Ă©pisode cĂ©venol. Certains axes routiers du dĂ©partements sont impactĂ©s par les fortes pluies et par la montĂ©e des cours dâeau. Voici lâĂ©tat des routes ce soir, Ă 20h. . RD135 entre Caissargues et Manduel inondĂ©e depuis 20h chaussĂ©e en partie⊠Lire la suite » Suite aux intempĂ©ries en cours notamment en CĂ©vennes, le DĂ©partement du Gard vous informe de la situation des routes. Ă noter que le pont de Dions sur la RD 22 va ĂȘtre fermĂ© en cours de matinĂ©e. Cliquez sur lâimage pour voir plus grand Lire la suite » Le Gard est toujours en vigilance jaune. Ce vendredi 2 mars 2018, le DĂ©partement du Gard fait le point sur les conditions de circulation Lâinterdiction des POIDS-LOURDS >7,5 T a Ă©tĂ© levĂ©e hier soir Ă 18h. Routes principales circulation normale mais reste une difficultĂ© RD906 OUVERTE MAIS DIFFICILE au Col de Porte. RN106⊠Lire la suite » A cause de la neige, lâĂ©tat des routes indique sept cols fermĂ©s dans le Gard avec notamment le col PrĂ© de la Dame Mas de la Barque et six autres cols fermĂ©s dans lâouest du Gard CĂ©vennes. Retrouvez toutes les informations sur ce lien. Lire la suite » Suite aux Ă©pisodes neigeux, le DĂ©partement du Gard fait le point, ce matin, sur lâĂ©tat des routes dans le dĂ©partement. Routes principales circulation dĂ©licate sur sur RD907 St AndrĂ© de Valborgne, difficile vers lâAigoual, Camprieu, TrĂšves, LanuĂ©jols. Equipements obligatoires pour le secteur de lâAigoual et la station Prat Peyrot. Routes secondaires circulation⊠Lire la suite » Le DĂ©partement du Gard fait le point cette fin de journĂ©e sur lâĂ©tat des routes dans le Gard Routes principales Secteur SUD Circulation normale Secteur NORD Circulation normale autour dâAlĂšs RD6 / RD906 / RD6110. Circulation dĂ©licate Ă difficile sur La Grand-Combe / Branoux les taillades RD361. Circulation⊠Lire la suite » Ce jeudi matin, en raison des chutes de neige et du verglas, plusieurs axes prĂ©sentent des difficultĂ©s. RD6086 ArdĂšche â Pont Saint Esprit Circulation difficile Neige rĂ©siduelle Conditions hivernales â adaptez votre vitesse RD6086/6101/6100 Bagnols â Remoulins â A9 Circulation difficile Conditions hivernales â adaptez votre vitesse RD6⊠Lire la suite » Ce mercredi Ă 16h, certains axes secondaires sont encore coupĂ©s Ă la circulation. RD765 route barrĂ©e Ă Chusclan/Codolet suite aux intempĂ©ries la route RD765 est fermĂ©e. RD901 route barrĂ©e Ă Malons et Elze Suite Ă un affaissement de la chaussĂ©e, la RD901 est fermĂ©e Ă la circulation. DĂ©viation dans⊠Lire la suite » Ce mercredi Ă 7h, suite aux intempĂ©ries, plusieurs axes secondaires sont encore coupĂ©s ou inondĂ©s. Sur les secteurs du Vigan et des CĂ©vennes, il existe des risques importants dâĂ©boulement et de prĂ©sence de pierres et de boues sur la chaussĂ©e. RD986L Comps route barrĂ©e la circulation est coupĂ©e sur le⊠Lire la suite »
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